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tire li pimpont

Conseil municipal du 14 Avril 18
Dernier conseil municipal d’Olmeta di Capi Corsu  le 14 avril 2018. .La question se pose quant à la fréquence des conseils municipaux de la commune .Ils sont très espacés et finalement peu nombreux.Entre temps des décisions sont forcément prises hors conseil ….est ce bien légal? Car si certaines peuvent être prises à l’initiative du maire ,d’après la loi et les prérogatives votées dés le premier conseil de la mandature ,d’autres ne le peuvent pas.
le compte rendu du conseil municipal du 2_avril est encore affiché sur la porte d’entée de la mairie
les comptes sont consultables en mairie pour ceux qui y comprennent quelque chose ..;Tous les budgets des communes corses sont contrôlés par le préfet et le service des impôts  et sont donc en règle, voire vertueux .Et pourtant,certains sont annulés par le tribunal administratif,suite à plainte,et ,des élus de plusieurs communes  sont condamnés par le tribunal correctionnel pour utilisation frauduleuse d’argent public.C’est à se poser des questions sur la pertinence de ses contrôles qui s’arrêtent au respect de la répartition réglementaire des dépenses et recettes et des subventions,sans se poser de véritables  questions sur l’utilisation  réelle des fonds publics.
façade du presbytére (confrérie) un appel d’offres en cours 94m euros
le budget de la commune 1M320m euros. 59 m euros de fonctionnement
Suite à démission de la première adjointe pour raison personnelle Mme le Maire propose pour la remplacer Mr Dominique Piazza .faute d’autre candidat déclaré ,il est élu à l’unanimité
Grotta scritta :la DRAC va s’en soucier :des panneaux vont être installés par la CTC.
PB d’eau :si je dois reprendre la même décision je le ferai, dixit Mme le maire .C’est à dire que cet hiver,peut être, on peut à nouveau prévoir un raccordement d’eau fluviale d’arrosage  non potable au réservoir d’eau potable ….un réservoir qui, soit dit au passage n’est plus entretenu .Mais ne vous inquiétez pas les analyses effectuées sur la qualité de l’eau le 19 dec et le 19 fev.,sont bonnes.Depuis il y en a eu certainement d’autres.Alors,on se demande pourquoi les habitants d’Olmeta parmi lesquels des conseillers municipaux,ont acheté tout l’hiver des bouteilles d’eau et continuent de le faire cet été .le doute s’est installé en ce qui concerne la qualité de l’eau.
rappel de l’arrêté ahurissant donnant la recette  aux Olmetais pour rendre buvable l’eau non potable!!!!

Les ponts qui enjambent les problèmes 
Pont de Negro : plan de l’architecte 

Pont effondré de Negro: les travaux commenceraient  avant la fin de l’année, le permis ayant été accordé .Un choix a été effectué entre le rétablissement de l’ancien chemin venant de Nonza sous forme de piste  et la reconstruction du pont .Il y aurait une différence de 200 m euros entre les deux coûts: 450 m euros pour la reconstruction du pont 192m euros pour la piste;
 Nous contestons ces chiffres :le coût important de la piste serait dû à la construction d’un long mur de soutènement. Pourtant il est possible de trouver un devis moins cher par un sérieux appel d’offres .Le coût d’un tel pont ,lui ,est à notre avis largement  sous évalué .
Ce qui est sûr c’est qu’il ne pourra, malgré les dires, être reconstruit à l’identique .C’est impossible, nous a confirmé un responsable du patrimoine de la collectivité de Corse; C’est pour cela qu’aucun financement de la part de la région ne sera octroyé au titre des fonds patrimoine .Dés lors, on peut s’étonner que la fondation du patrimoine et la française des jeux, par l’intermédiaire d’un tirage spécial patrimoine du loto associé à un jeu de grattage,inscrive le projet d’Olmeta au sein de plus de 200 projets subsidiaires venant après les 11 prioritaires,parmi lesquels figure le couvent de Pinu  .Un récent article d’un magazine national se demandait si tous ces projets,non prioritaires, allaient pouvoir réellement être financés à la hauteur de leur demande :pour le pont de Negro 169 m euros . il va donc falloir que la mairie s’en remette à une souscription  qui est en cours et sans doute avoir recours à un nouvel emprunt si elle veut  finaliser ce projet .
L’albore ulmitese souhaiterait que cette reconstruction soit vraiment d’intérêt public.Pour le moment, elle n’est que d’intérêt paysager douteux  :un compromis selon l’architecte entre une restitution stricte et une reconstruction contemporaine  par une maçonnerie béton recouverte de moellons :une mauvaise réplique .Pour que les fonds publics soient utilisés pour un bien collectif, il faudrait,que ce pont, ne débouche pas sur une issue mais soit prolongé par une route débouchant sur la départementale au dessus de la tour . la solution la plus simple ,la moins onéreuse ,la plus raisonnable, reste cependant  la construction d’une piste  à un coût moins élevé que celui que nous indique la municipalité  pour desservir les 2 habitations enclavées par la destruction de ce  pont . A tout le moins ,à défaut de reconstituer une mauvaise réplique d’un pont écroulé ,un architecte paysager du patrimoine peut proposer un pont plus discret et moderne et bien moins coûteux  s’intégrant parfaitement au paysage et le valorisant .Cette perspective n’a vraisemblablement pas été envisagée.
Vivre au village :un sacrifice injuste
Vivre dans un village corse est  devenu un sacerdoce et un acte de militantisme.Il est urgent de développer une politique de développement rural pour lutter contre la désertification des villages .Voilà  un refrain qui rythme le chant  polyphonique d’élus donnant de la voix  pour une quête perpétuelle de voix .
Pour autant, la qualité de vie des villageois se détériore malgré l’afflux de moyens financiers qui auraient permis de l’améliorer ,s’ils avaient ou sont employés à bon escient :
Ainsi,nous autres autochtones habitants d’Olmeta Di Capi Corsu,avons  dû, comme ceux de bon nombre  de villages corses, passer un hiver pénible marqué par les restrictions ,les coupures d’eau,  une alimentation en eau potable  complétée  par de l’eau destinée à l’arrosage  non sécurisé venant d’un captage à l’air libre.Pour autant ,nous avons dû payer nos factures d’eau comme d’habitude ce qui reléve ,n’ayant pas peur des mots de l’escroquerie .
Une route départementale dite route du Cap Corse  coupée une bonne partie de la journée pendant trois semaines pour des travaux qui, en fait ne nécessitaient que des coupures intermittentes seul  un petit groupe de travailleurs grimpeurs faisant tomber des rochers à la barre à mine :surcoût d’un aménagement d’horaire obtenu de haute lutte par un collectif dont faisait partie l’associu l’albore ulmitese  400m euros sur un budget de 1,4M d’euros qui sera sans doute dépassé .reprise des travaux en Octobre avec de nouvelles contraintes pour nous pauvres villageois.
Coupures d’électricité :mini coupures incessantes  en cas de fort vent :un collectif d’usagers a du se mobiliser pour interpeller EDF afin qu’il effectue les travaux d’entretien sur les pylônes.ceux ci  qui seraient en cours .
Téléphones et réseau internet :on n’en est plus à une intervention prés,suite à des coupures de  parfois de plusieurs jours pour certains clients .Evidemment, contrairement à certaines communes avoisinantes ,rien n’est encore fait à Olmeta pour pallier par un relais intermédiaire  la déficience de puissance de réception du réseau internet qui est très invalidante pour ceux qui reçoivent et  enregistrent des dossiers  ,visionnent des émissions en replay ou veulent les  enregistrer .
Des routes bordées de pierres qui sont rarement enlevées par les employés  de la collectivité de Corse laissés encore plus libres de gérer leur travail  depuis la suppression des conseils départementaux .D’où des dégâts occasionnés à nos véhicules  pneus éclatés , amortisseurs à changer etc…
Mais,des indigènes ,comme nous, qui s’en soucie? les seuls habitants qui comptent ce sont les intermittents de passage :corses de la diaspora  qui apportent des voix, sans, pour une très grande majorité d’entre eux ,notamment les plus jeunes,  se soucier de la gestion des villages et de la région et les touristes intermittents de la découverte ,manne économique qui va se tarir proportionnellement à la bétonisation effrénée de l’île. Pour eux, on déroule le tapis rouge :les caniveaux des routes et les villages sont subitement nettoyés,au moins une à deux fois en juin.l’eau potable  coule à flot ,les piscines sont remplies , presque plus aucun pb de réseau internet. la convivialité de circonstance s’installe à nouveau ,les touristes  locataires sont enchantés de l’accueil et de la beauté de ce village .ils se félicitent de la tolérance  qui les laissent se garer un peu n’importe où,alors qu’un parking est  indiqué,par panneau ,obligatoire à l’entrée du village et qu’un arrêté rappelant le décret est affiché , ou faire grand bruit, chaque soir, sans se soucier des voisins ;
Couacs que 
Pourtant ,cet été de sérieux  couacs ont perturbé la sérénité habituelle des estivants et des habitants permanents qui eux ,pour la plupart acceptent la succession d’avatars avec un fatalisme préoccupant  :des ordures non ramassées pendant plusieurs jours ou des encombrants  oubliés ,durant tout le mois d’août  par la communauté de communes en manque d’employés,tombés subitement malades……
Des déchets de chantiers qui continuent d’être déposés en bord de route ….pas difficile pourtant de savoir qui agit de la sorte :sur ce point la législation engage la responsabilité du maire .
Des accotements de route débordants de végétaux qui gênent la circulation :il appartient désormais à la collectivité territoriale de Corse d’entretenir  les routes et les abords.
Un vandale a jeté une bouteille de bière sur la façade de l’église ,trouant un vitrail ...
Ces couacs ne sont pas des impondérables mais des signes d’une détérioration des conditions de vie des habitants du village .Alors que faire ?  Il incombe,d’abord, au maire et au conseil municipal de faire en sorte que les différents services régionaux ou de la communautés des communes respectent la commune d’Olmeta Di Capi Corsu ,ses habitants et ses élus , Pour cela ,à l’image  d’autres maires ,ils doivent ,en premier lieu ,taper sur la table . exemple: vous ne me ramassez pas les encombrants:je loue un camion je les porte à la recyclerie et je vous envoie la facture , à vous,communauté de communes et je communique en conséquence .
Requiem aeternam dona eis domine 
Celui qui rédige ces informations représente au sein de différents organismes  régionaux une association de défense majeure de l’environnement .A ce titre, il a accès à des dossiers qui concernent l’avenir des communes et de l’île .Il rencontre nombre d’élus et responsables ,qui ,parfois lui demandent de quel village il est .Mais, quand on lui pose des questions sur ce  village ,il n’y répond pas parce qu’il a honte .Cela ne l’empêchera pas le cas échéant  de faire avancer tel ou tel dossier dont,seuls les Olmetais pensent  que le maire a la seule  puissance divine de décision .
L’albore ulmitese persiste à dire que ce village  a d’étonnantes possibilités de développement  raisonnable et raisonné qui  peuvent lui éviter la désertification,et créer de l’emploi .Nous n’avons  jamais  cessé d’en donner des exemples .
Mais de ce développement, nos  élus municipaux le refusent par obscurantisme,par clientélisme  et pour  préserver les avantages et prébendes d’un groupe d’affidés .Cela ,au mépris du respect des  lois les plus élémentaires.Mais comme la majorité des Olmetais, qui subissent humiliation sur humiliation, sont contents de leur sort et prêts  à payer de plus en plus d’impôts pour des services non rendus ,alors,il n’y a plus rien à faire .Ce d’autant plus que les différentes subventions qui ont fait de cette commune une des plus aidée de corse pour un développement raté en raison de choix très discutables ,vont être réduite de manière conséquente . .Alors  requiem aeternam dona eis Domine
L’albore ulmitese est une association  citoyenne.Nous ne constituons pas une force d’opposition politique comme la mairie se plait à nous présenter  .Nous abhorrons la pulitichella clientéliste .Nous ne briguons pas la mairie d’Olmeta .Nous œuvrons pour le développement durable du village.
Olmeta le 21 aout 2018 _

 

 

 

 

 

 

D’un ghjornu a l’altru Aostu 1

D’un ghjornu a l’altru ? chronique de la vie du village D’Olmeta Di Capi Corso qui donnait lieu parfoIs à des commentaires sur les réseaux sociaux comme facebook et qui dorénavant sera relayéE sur ce blog entre des articles plus importants .

CLIQUER SUR LE LIEN ci dessous pour voir apparaître le texte.

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TIRER LA CHASSE

Chronique                tel mobile images 114

La chasse est le divertissement rural par excellence …un sport ancestral qui a autant de détracteurs que d’admirateurs .Nos anciens chassaient pour se nourrir ; Désormais ,c’est pour le plaisir que certains pratiquent cette activité de nature .

Résistons à l’envie de disserter ou plutôt de » macagner » sur les pulsions psychanalytiques du chasseur pour nous pencher sur l’impact de cette pratique ancestrale sur la vie d’un village .

En général ,la chasse se pratique en équipe . Et dans le plus petit village, il existe, habituellement ,deux ou plusieurs équipes qui devraient se partager le vaste territoire de chasse ,vivre en bons termes et faire chaque année un repas à la Obelix .Hélas, la plupart du temps, elles sont concurrentes ,pour ne pas dire plus.

 Et là, tout est permis :On a connu , au village , jadis,une longue période d’ empoisonnement de chiens, de quoi remplir un cimetière .Heureusement cette barbarie a cessé. Quoique ,quelques villageois, mal intentionnés, et lassés d’entendre les aboiements polyphonies diurnes et nocturnes de chiens emprisonnés dans leur chenil (liberta per i cani) ont, quelquefois ,des idées de meurtres.(précisons que je macagne, nom d’un chien)

Chez nous, la guerre des équipes est révolue pour le moment .Il existe une société de chasse et d’autres chasseurs solitaires ou en groupes d’amis.
Alors tout va bien :chasse qui veut ,chasse qui peut la fleur au fusil  ? Eh bien non !!!

Un chasseur villageois et son ami , porteurs d’ un permis de chasse ont été contrôlés et verbalisés, un vendredi soir, à l’entrée du village ,par des gardes chasse, pour avoir chassé, un jour non ouvrable et, tué un sanglier en pleine montagne .Les vilains.

Évidemment les gardes chasse avaient été contactés et ensuite, constamment renseignés par un ou des villageois .Il faut savoir qu’un tel procès verbal vous conduit devant le  juge , que l’amende est très importante et votre arme saisie.

Qui les a appelés ? la société de chasse ? Ce qui aurait été plausible, puisque, une société de chasse se doit de pourchasser ceux qui chassent sans permis (c’est pas permis) , les braconniers qui posent des collets ( les collets tionneurs) ) et ceux qui chassent la nuit à la lunette laser et au silencieux (chasser au noir) , les chasseurs encartés sachant chasser chassant les jours non ouvrables(vendredi c’est rôti) , …..Enfin, encore faut-il, que, les sociétaires chasseurs, respectent ,eux aussi, les règles et ne trichent pas …..ce qui ,évidemment, n’est le cas pour certains .

Eh bien non ….son président se sentant…visé ..a nié catégoriquement être l’auteur de la dénonciation .On le croit …..mais les autres adhérents, hein, ont ils des arguments canons pour se disculper ?
Alors qui est ce ,et pourquoi ? Est-ce un enfant de la balle ou un trou de balle ,un jaloux ,un trompé ,un atrabilaire ,un justicier ,un cerveau barillet,un vengeur (le vengeur d’Olmeta), un élu zélé?
Et si c’était un sanglier ? On trouverait cela laie (mi il a encore fait une faute) Mais, depuis que les sanglochons des violons de l’automne ne bercent plus mon cœur d’une langueur monotone ,comme le dirait, aujourd’hui ,le chasseur Verlaine ?  ou, sous forme de message ,personnel (cela en est bien un)  radio londres transformée en radio Olmeta …
Et si c’était une femme  qui cherchent des crosses ? Une frustrée qui veut punir ces chasseurs machos, ceux qui tirent des coups les jours interdits ..
Les supputations vont bon train dans le village et ailleurs: chacun y va de sa cartouche .Si c’est un homme, c’est mal ,si c’est une femme, c’est femelle. 
Et si les pris dénonçaient les pas pris sans se faire prier . Qu’arriverait il ?
Dans un village, où certains, sont en poste perpétuelle sur ordre ou sous hypnose pour surveiller des voisins, de peur qu’ils ne s’emparent de leur chasse gardée , il existe fatalement des corbeaux ,( lettres anonymes à l’appui tradition en cours) et les délateurs anonymes bien sûr .A croire que, c’est, chez nous, qu’a été  inventé le fusil à tirer dans les coins .
Reste que  cette dénonciation malsaine a fait le tour du canton, a été relayée bien au delà par les réseaux sociaux , a choqué et fait réagir .Cela suffit à marginaliser et condamner le ou les délateurs:l’opprobre publique
En effet, il y a des choses qui ne se font pas  dans une communauté villageoise et qui, fatalement, ont un effet boomerang .la personne visée  du village n’a  pas été choisie au hasard ,elle a été ciblée .il se trouve que ,…par ricochet…ses détracteurs habituels (ceux qui sont en guerre c’est leur expression contre lui et ses amis)  sont naturellement  en  point de mire  des ragoteurs supputateurs internautes ou autres….à eux de démentir .
Mais beauf …(mi il a encore fait une autre faute )…..ce n’est qu’une péripétie de la vie d’un village du cap corse qui restera sans suite conséquente malgré le désir des garde chasse qui attendent des dénonciations en retour.  Aucune vengeance . Inutile de tomber dans la spirale malsaine de conflit que certains veulent entretenir .
Ceux qui ont été pris en situation d’illégalité:chasser un jour interdit  risquent gros .Ils sont conscients de leur faute et assument .On devrait pourtant les remercier, parce qu’ils contribuent à réguler une espèce animale qui cause de très gros dégâts dans le village et parfois au ras des maisons .Bientôt les champs d’Olmeta seront lunaires .Attention ,que, par imprégnation, on ne deviennent pas  c… ( o spacciatu ) ..comme la lune;
Normalement ,c’est la Fédération Nationale de chasse qui est responsable, via ses sociétés, des dégâts causés par les animaux chassés. Mais, comme elle ne prend aucune disposition contre le sanglier fléau dans notre commune et ,au contraire , nous envoie par appel  recommandé  ses gardes ,la population est malheureusement obligée de se débrouiller elle même .Donc, plus il y a de chasseurs à toute heure du jour et de la nuit, mieux on se porte .              
 Alors plus de pétoires au prétoire.
Aristote?….( u cunnosci tu quessu, un n’hé micca un paesanu)… dit que la lâcheté est un excès de crainte.
Tirons la chasse. Ne sonnons pas l’hallali, mort aux vaches humaines (métaphore) et aux sangliers.

ci campemu

Ps :Tout ce qui nuit au lien social où à la solidarité dans un village est un frein  voire un obstacle infranchissable pour le développement durable d’une  commune de montagne  . Chasseurs, exploitants agricoles, bergers , sylviculteurs ,propriétaires peuvent s’entendre s’ils se parlent et refusent d’écouter ceux qui ont intérêt à ce que règne la discorde .C’est alors, qu’en synergie ,ils peuvent se faire plaisir et contribuer activement et durablement au développement économique  intelligent et raisonnable de la commune comme à la mise en valeur de leurs patrimoines .l’albore milite dans ce sens, d’où cette chronique .